Temzi irohen - Slimane Azem
Traduction mélodique du prélude-couplet et du dernier couplet de : Temzi irohen (La jeunesse qui est partie)
Quand je pense, je réfléchis
Sur le temps où j'étais petit
A l'abri de mes parents
Je ne me plains, ni ne me souciais
Dans le chérissement, grandi
Avec mes amis, m'amusant
Qui aurait dit qu'il en serait ainsi
En exil, je suis, cheveux blanchis
De mon pays, je me suis exilé
L'exil est sœur de la mort
Je l' l'ai expérimenté fort
L'anxiété, l'adversité
Ô ceux qui mesurent, rimez
Sur les exilés, chantez
Pas un seul ou deux, ainsi
Que la brume se dissipe, priez
Qu'appelle le pain du pays
Les saints d'Igawawen, aussi
N.B : Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson. (Voir sur YouTube)
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