Walagh - Ait Menguellet
Traduction mélodique de : Walagh (J’ai vu)
J’avais vu quelqu’un passer
Tout seul, pleurant
Je lui dis ce qu’il avait
Il entend, s’arrêtant
Ses soucis, les raconter
Sa tête se calmant
Et quand ils sont séparés
La charge, s’allégeant
Ainsi va le mal de la vie
Qui en est exempté
Et l’homme qui n’est pas raté
Mérite l’empathie
Que Dieu te garde, il me dit
Dans l’erreur, tu es
Ce jour, ce qui m’est arrivé
Ce n’est pas ta vue
Le médecin m’avait donné
Deux mois de survie
Je mourrai après
Des jours amers, j’ai vécu
L’esprit est sorti
Le médecin vient de me dire
Je ne vais pas mourir
Ma joie en pleurs, s’est muée
Je vais subsister
J’avais vu quelqu’un passer
Tout seul, il riait
Que Dieu t’assiste, lui disant
M’entendant, s’arrêtant
Qu’est-ce qui te fait rire ainsi
Dis-moi, que je rie
J’ai besoin de rire, moi aussi
Mon cœur, l’alléger
Celui qui rit est bien meilleur
Que celui qui pleure
Mieux les roses s’épanouissant
Que celles s’asséchant
Il a dit : ô associé
Si je te contais
Ton esprit va tournailler
Mieux vaut que j’oublie
Fin du combat, les soucis
A leur fin, touchant
Il me reste à rire, maintenant
Plus que ça, craignant
Regarde comment est la vie
Ris de moi, si tu veux
Rire du malheur, on comme dit
Ô Sauveur ! Ô Dieu !
J'avais vu quelqu'un passer
Des rêves, il vendait
Il appelait à l'achat
Je dis : Je suis là
Vends-moi le rêve : Fraternité
Chez moi, je n'en ai pas
La mère, on va l'égayer
Les enfants, rêver
Chez moi, ce rêve est terminé
Un peu, vous me vendez
Fatigué de le chercher
Je ne l'ai pas trouvé
Devant moi, tout étalant
Les épaules, haussant
De nouveau, me regardant
Son front, le plissant
Est-ce que tu dors encore, il dit
La fraternité
Ne se vend, ne peut se trouver
Son temps est passé
Le jour où je l'apportais
On la refusait
Maintenant, j'apporte des conflits
Pour eux, se battant
J'avais vu l'amour passer
Un artiste cherchant
Elle dit : Qui peut, sur moi, rimer
Et qui a le temps
Ayant, celui qu'il faut, trouvé
Arrête de chercher
Étant de ceux te connaissant
Est-ce tu me connais
Ton nom, c'est moi qui l'ai porté
Au ciel étoilé
Chaque étoile qui l'entendra
Va tomber à toi
Se tournant, me regardant
D’un regard mauvais
Elle se tait puis me disant
Que Dieu te guide et
Elle dit : Ton âge, la canitie
Tu cherches après moi
Mieux vaut gérer tes soucis
Je t'oublie, tu m'oublies
Sur un jeune à la belle voix
Je cherche après lui
Sur celui loin du trépas
Dont sont folles les filles.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson. (Voir sur YouTube)
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