La révolte
Le commencement de la fin
Au printemps de quatre-vingt
Révolte de tout un patelin
Elevant la voix, enfin.
Voici venir l’écrivain
On l’arrêta, en chemin
Les poèmes kabyles anciens...
Trop, c’est trop, comme un levain
Et quatre-vingt-huit survint.
Saïd Slimani le 11-01-2017.
Ajouter un commentaire