Akni xdae Rabbi - Ait Menguellet

 

  Traduction mélodique de : Akni khdae Rabbi (Que Dieu vous maudisse))

 

Nous appelons les aînés

Morts pour sa dignité

Même s'il se plaint, non entendu

Tous, un jour, ils ont disparu

Si on vous disait, ô frères

Tourmentés par le pays cher

Vous montrant comment on l'a rendu

Sur lui, des arbres ont pleuré

 

Cassé par l'éléphant passant

Mangé par son frère, s'ajoutant

Enterré par celui qui l'attend

Personne ne la limitant

 

Chaque tare est inventée

C'est de vous qu'elle tient sa lignée

Quand on se dit : Terminée

Ce jour, plus que hier, s'avérant

Le pays cassé pleurant

Ne se reboutant,  ni guérissant

Un anathème, peut-être ayant

Sur vous, il va s'abattre, et

 

Un jour, si un vent soufflant

On souhaite, vous emportant

Vous, que tout s'assainisse

 

Et que Dieu vous maudisse

 

 

Quand elle avait commencé

Chacun y est allé, croyant

Pour la liberté

Mais pour vous, elle est parée

Le vrai objectif visant

Fut l’autorité

Votre propriété, devenue

Vous pourvus, nous, dépourvus

Révolution, appelée

 

Que Dieu vous maudisse

 

 

Le feu, quand il est passé

Orphelins et veuves, laissant

Des blessures, pleurs, et...

Celui mort, par sincérité

Sa maison déserte laissant

Vous, tous êtes restés

Au peuple, la bride, vous mettez

Marche ou donne l'identité

 

Que Dieu vous maudisse

 

 

Telle votre propriété

Mangée comme vous le voulez

Parmi vous, tombé

Vous, ce que vous voulez, il y a

Personne ne peut protester

Le peuple, il le voit

Votre bien, devient le pays

Qui dénonce, vous dites, c'est ainsi

Le socialisme, vous l'appelez

 

Que Dieu vous maudisse

 

 

Pour le tenir à jamais

Le pays est divisé

L'ouest, l'est, pour régner

Plus d'animosité

Les tisons toujours ranimés

A l'ombre, vous vous tenez

Entre nous, nous nous surveillons

Entre nous, nous nous frappons

Vous nous dites : ainsi est l'union

 

Que Dieu vous maudisse

 

 

Ce jour, même si, aliéné

Encore, défavorisés

Nous sommes éprouvés

Même si le feu s’éteignant

Nous sommes encore blessés

Car vous êtes présents

Nous, le peuple, guignard étant

Ce qu’on a, plus méritons

Encore, vous applaudissons

 

Que Dieu nous maudisse.

    

 

 N.B.  Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson. (Voir sur YouTube)

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